Encore une mission d’achever, encore du sang qui avait coulé, encore un Haryon bien satisfait. Il s’était amusé cette fois encore. Il avait peut-être poussé le bouchon un peu loin ? Non, ça n’était jamais assez pour lui. Il trouvait toujours des choses nouvelles à expérimenter. Il aimait tester ce que ses parents lui avaient appris quand personne ne le regardait. C’est pour cela qu’il préférait travailler seul. D’abord parce qu’il risquait moins de tuer un de ses camarades durant un de ses excès de fureur et après parce qu’il pouvait laisser libre cours à ses humeurs. Cette mission là, honnêtement, avait été du gâteau. Pas d’adversaires à son niveau, pas de challenges pour tester ses nouvelles techniques. Il aurait presque pu s’ennuyer si ce n’avait été pour sa soudaine envie de douce mélodie. Des cris, encore et encore des cris. Il n’avait voulu entendre que ça. Ce fut donc l’une après l’autre que ces hommes passèrent entre ses mains et qu’avec un grand enthousiasme qu’il se remémora ces tortures les unes après les autres.
Le premier, il s’amusa avec, fut un homme assez grand et qui se voulait muscler. Il était plutôt pas mal et si cela avait dans d’autres circonstances… hum grrr, ils auraient sûrement pu s’amuser tous les deux. Le crucifiant sur le sol dur, il répandit soigneusement de la poudre qu’il avait trouvée dans la réserve du village. Même avec toute l’artillerie qu’ils avaient, ils n’avaient rien pu faire. Ou alors était-ce du au manque de formation ? Ne savaient-ils pas utiliser ce qui leur était donné ? Tout ça c’était du passé. Maintenant, il s’amusait sans craindre d’être déranger. Répandant donc cette poudre en artiste amateur qu’il était, les lignes courbes et ce qu’il voulait être des fleurs dessinées, il enleva le gan qui recouvrait sa main droite et claqua des doigts. Instantanément, la poudre prit feu à un endroit et la flamme suivit le chemin qui lui avait été tracé sur la peau de la personne. Haryon posa sa tête dans sa main nue et ne put que sourire. Il ferma les yeux et frissonna de plaisir en entendant les cris et gémissements de cet homme. C’était pour cela qu’il préférait torturer les hommes et pas les femmes et les enfants. Il voulait briser les volontés les plus fortes, il voulait trouver un adversaire à sa taille. Mais là, il n’avait pas trouvé son bonheur. Frissonnant toujours de plaisir à cette mélodie qui ne pouvait qu’être mélodieuse à ses oreilles, ce fut sur les tons des « Pitié, arrêté ça ! Ahhhh !!!! » Qu’Haryon ouvrit les yeux en fronçant les sourcils légèrement. Déjà ? Il demandait déjà pitié ? N’avait-il donc aucune volonté ? Aucun esprit combatif ? Tristement et secouant la tête négativement, il finit par retirer son deuxième gan et le fourra dans son autre poche comme il avait fait avec le premier.
Le premier, il s’amusa avec, fut un homme assez grand et qui se voulait muscler. Il était plutôt pas mal et si cela avait dans d’autres circonstances… hum grrr, ils auraient sûrement pu s’amuser tous les deux. Le crucifiant sur le sol dur, il répandit soigneusement de la poudre qu’il avait trouvée dans la réserve du village. Même avec toute l’artillerie qu’ils avaient, ils n’avaient rien pu faire. Ou alors était-ce du au manque de formation ? Ne savaient-ils pas utiliser ce qui leur était donné ? Tout ça c’était du passé. Maintenant, il s’amusait sans craindre d’être déranger. Répandant donc cette poudre en artiste amateur qu’il était, les lignes courbes et ce qu’il voulait être des fleurs dessinées, il enleva le gan qui recouvrait sa main droite et claqua des doigts. Instantanément, la poudre prit feu à un endroit et la flamme suivit le chemin qui lui avait été tracé sur la peau de la personne. Haryon posa sa tête dans sa main nue et ne put que sourire. Il ferma les yeux et frissonna de plaisir en entendant les cris et gémissements de cet homme. C’était pour cela qu’il préférait torturer les hommes et pas les femmes et les enfants. Il voulait briser les volontés les plus fortes, il voulait trouver un adversaire à sa taille. Mais là, il n’avait pas trouvé son bonheur. Frissonnant toujours de plaisir à cette mélodie qui ne pouvait qu’être mélodieuse à ses oreilles, ce fut sur les tons des « Pitié, arrêté ça ! Ahhhh !!!! » Qu’Haryon ouvrit les yeux en fronçant les sourcils légèrement. Déjà ? Il demandait déjà pitié ? N’avait-il donc aucune volonté ? Aucun esprit combatif ? Tristement et secouant la tête négativement, il finit par retirer son deuxième gan et le fourra dans son autre poche comme il avait fait avec le premier.
« - Vous n’êtes pas marrant. Je vais bien voir si le suivant est plus résistant. »
Joignant ses mains comme s’il voulait souffler dedans pour les réchauffer, il souffla effectivement dedans mais ce ne fut pas de l’air qui se retrouva prisonnière de ses mains mais du feu. Enveloppant ce feu d’une fine couche d’air, il forma une petite bille. Lorsqu’il eut fini. Il regarda la bille qu’il prit entre son index et son majeur. On pouvait voir le feu s’agiter à l’intérieur comme cherchant à s’échapper. Un sourire satisfait se dessina sur le visage d’Haryon, un sourire qui aurait pu passer pour angélique si ce n’était pour la situation. Mais il était heureux. C’était une des rares façons qu’il avait maîtrisé pour associer ses deux éléments sans créer d’explosion instantanément. Il était content son entraînement avait payé ! S’approchant de l’homme, il lui fit avaler la petite bille et s’éloigna pour se choisir son prochain jouet. Quand il fut arrivé devant les rares survivants uniquement composés d’hommes, oui il avait décimé les femmes et les enfants en arrivant, il claqua des doigts et le corps de son précédent jouet explosa, répandant tout son sang sur le sol. Il ne restait rien à par du sang. Pas la moindre trace d’os ou autres, rien. Cette petite bille était dévastatrice. Une fois ingérée et une fois la magie, qui empêchait les deux éléments de se mélanger, levée, c’était comme un poison interne, de la lave en fusion qui se propageait d’abord dans tous les vaisseaux, coins et recoins du corps de la personne. Une fois qu’elle n’avait plus aucun endroit où allait, elle cherchait à sortir et l’air se comprimant encore et encore finissait par créer une sortie en faisait exploser le corps. Rien ne rester, seulement du sang.
Sous le regard horrifié des hommes qui se trouvaient devant lui, Haryon ne put que sourire. Ce sourire angélique qui n’appartenait pourtant pas à un ange. Il n’était pas celui qui les sauverait, il était celui qui les anéantirait tous. Les ordres étaient les ordres, absolus et irrévocables. Une fois donnée, ils ne pouvaient qu’être exécuter. Tout ça pour donner un exemple, pour prévenir les nations qu’ils étaient là et qu’ils frappaient et frapperaient n’importe où et n’importe quand. Haryon finit par faire son choix. Celui là, il était bien mignon, il fallait qu’il en profite. Il avait d’ailleurs sa petite idée sur la façon dont il allait lui offrir son allé simple pour la mort. Se penchant vers lui à la manière d’un félin, il joignit leurs lèvres. Entrelaçant ses doigts avec les cheveux de l’homme, sous le regard effrayé des autres, il ferma les yeux et un flot de lave se déversa de sa bouche dans celle de l’autre homme. Haryon le força à tout avaler et quand l’homme cessa toute résistance, Haryon cessa le baiser et se lécha les lèvres sensuellement. Il relâcha son emprise sur la chevelure de l’homme et le laissa s’étendre sur le sol disgracieusement. Un sourire enfantin se dessina de nouveau sur ses lèvres mais il voulait plus de cris, tout un concerto de cris. Il n’y avait qu’une chose à faire pour pouvoir frissonner un bon coup comme s’il atteignait l’orgasme.
Tremblant d’impatience à l’idée de ce qui allait se produire, de ce qu’il allait faire, Haryon s’accroupie sur le sol, enflamma son index et se mit à sillonner le sol comme s’il cherchait quelque chose. Un sourire satisfait se dessina sur son visage quand il trouva ce qu’il cherchait. Cette fois-ci, il posa sa main à plat sur le sol et, comme si un énorme rocher c’était abattu sur le sol, la terre trembla avant que des jets de lave ne sortent du sol comme des geysers d’eau. Les goûtes de lave tombèrent sur les villageois encore vivants provocant un véritable concert de cris. Comme un enfant, Haryon se mit à tourbillonner sur lui-même les bras tendus sur les côtés. Pour lui ce n’était qu’un jeu, un jeu qui devait prendre fin à un moment ou à un autre. Ce fut donc satisfait et avant de se faire brûler lui-même qu’Haryon quitta le village marchant aux côtés de son cheval. Il s’arrêta à l’abri des retombées de lave et observa le village disparaître comme une glace en plein été. S’agenouillant de nouveau et une fois certain qu’il ne restait aucune trace. Il toucha de nouveau le sol et les geysers moururent. Seul les trous qu’ils avaient formés en jaillissant restèrent ainsi que les cendres mélangées des maisons et de leurs habitants. Montant sur son cheval, il sortit une petite flûte et se mit à en jouer gaiement. Encore une mission d’accomplie.
Quelques heures plus tard, Haryon se trouvait près d’une petite rivière. Il était allongé sur l’herbe et profitait du soleil alors que son fidèle destrier s’abreuvait. Il avait un bras derrière sa tête et l’autre reposant paisiblement sur son ventre. En le voyant comme ça, personne ne se serait douté qu’il avait décimé un petit village quelques heures auparavant. Mais c’est ce qui faisait de lui ce qu’il était, personne ne pouvait vraiment dire ce qui lui trottait dans la tête. Il n’avait envi que de s’amuser et de retrouver ses parents, de les rendre fiers de lui. La vérité, c’était qu’il dormait paisiblement, innocemment mais il avait le sommeil léger. Si quelqu’un venait à s’approcher, il le saurait. Mais pour le moment, tout était paisible alors il avait autorisé Morphée à venir le chercher pour un petit rendez-vous en amoureux. Aller jusqu’à rêver d’un adonis après un massacre, il n’y avait que lui pour ça. Il n’éprouvait pas de remords, rien ne venait troubler son sommeil. Sa flûte était près de lui, elle lui était tombée de la main quand il s’était assoupi. Il faisait un beau tableau à peindre comme ça.
Haryon sursauta quand son cheval se mit à l’éclabousser. Un sommeil léger ? Il était trop pris dans son sommeil et surtout dans son rêve pour ne pas avoir sursauter. Quelle lames noires il faisait ! Désespérant tout ça. Haryon se redressa et fusilla son cheval du regard. Il s’approcha de lui et pénétra dans l’eau sans même se soucier de mouiller ses chaussures, il se mit à éclabousser son cheval. Monde gamin enclenché, rien ne pourrait l’arrêter. Bon des deux, celui qui ressortit le plus mouillé fut bien évidemment Haryon qui secoua ses cheveux pour en retirer l’eau comme s’il avait été un chien. Il s’assit à côté de son sac et retira ses chaussures pour les laisser sécher. Il farfouilla dans son sac et en ressortit de quoi manger. Oui il avait fait ses provisions pour son retour chez lui avant de détruire le village. Fou dangereux mais pas idiot. Il sortit plusieurs carottes et les donna à son cheval tandis que lui il s’attaqua à un morceau de pain. Pour dire vrai ce dont il avait vraiment envi, c’était de pâtisseries surtout celles qui se faisaient juste en bas de chez lui. Tous les jours quand il n’était pas en mission, il se réveillait et se couchait avec la bonne odeur des gâteaux, de biscuits, de pâtisseries en tout genre. Il en voulait !
Il se serait presque mis à bouder tellement il en avait l’eau à la bouche. Il avait presque l’impression de les sentir d’ici. Finissant son morceau de pain, il remit tout le reste dans son sac et remit ses chaussures même si elles étaient loin d’être sèches. Il laissa quand même sa monture finir ses carottes puis monta en scelle. Un assassin menait par le bout du nez par son estomac ! Déjà vu ça ? Haryon laissa quand même son cheval allait à son rythme en rêvassant aux délicieuses pâtisseries qui l’attendait à son arrivée. IL ne s’était même pas rendu compte qu’il avait oublié sa flûte. Il y tenait pourtant beaucoup mais n’écoutant que son estomac, il l’avait oublié prés du lac. Quand il s’en apercevrait, allait-il la retrouver ou quelqu’un en aurait-il pris possession ? Quoi qu’il se passe, Haryon s’en mordrait les doigts et serait d’une humeur massacrante pendant longtemps.
Sous le regard horrifié des hommes qui se trouvaient devant lui, Haryon ne put que sourire. Ce sourire angélique qui n’appartenait pourtant pas à un ange. Il n’était pas celui qui les sauverait, il était celui qui les anéantirait tous. Les ordres étaient les ordres, absolus et irrévocables. Une fois donnée, ils ne pouvaient qu’être exécuter. Tout ça pour donner un exemple, pour prévenir les nations qu’ils étaient là et qu’ils frappaient et frapperaient n’importe où et n’importe quand. Haryon finit par faire son choix. Celui là, il était bien mignon, il fallait qu’il en profite. Il avait d’ailleurs sa petite idée sur la façon dont il allait lui offrir son allé simple pour la mort. Se penchant vers lui à la manière d’un félin, il joignit leurs lèvres. Entrelaçant ses doigts avec les cheveux de l’homme, sous le regard effrayé des autres, il ferma les yeux et un flot de lave se déversa de sa bouche dans celle de l’autre homme. Haryon le força à tout avaler et quand l’homme cessa toute résistance, Haryon cessa le baiser et se lécha les lèvres sensuellement. Il relâcha son emprise sur la chevelure de l’homme et le laissa s’étendre sur le sol disgracieusement. Un sourire enfantin se dessina de nouveau sur ses lèvres mais il voulait plus de cris, tout un concerto de cris. Il n’y avait qu’une chose à faire pour pouvoir frissonner un bon coup comme s’il atteignait l’orgasme.
Tremblant d’impatience à l’idée de ce qui allait se produire, de ce qu’il allait faire, Haryon s’accroupie sur le sol, enflamma son index et se mit à sillonner le sol comme s’il cherchait quelque chose. Un sourire satisfait se dessina sur son visage quand il trouva ce qu’il cherchait. Cette fois-ci, il posa sa main à plat sur le sol et, comme si un énorme rocher c’était abattu sur le sol, la terre trembla avant que des jets de lave ne sortent du sol comme des geysers d’eau. Les goûtes de lave tombèrent sur les villageois encore vivants provocant un véritable concert de cris. Comme un enfant, Haryon se mit à tourbillonner sur lui-même les bras tendus sur les côtés. Pour lui ce n’était qu’un jeu, un jeu qui devait prendre fin à un moment ou à un autre. Ce fut donc satisfait et avant de se faire brûler lui-même qu’Haryon quitta le village marchant aux côtés de son cheval. Il s’arrêta à l’abri des retombées de lave et observa le village disparaître comme une glace en plein été. S’agenouillant de nouveau et une fois certain qu’il ne restait aucune trace. Il toucha de nouveau le sol et les geysers moururent. Seul les trous qu’ils avaient formés en jaillissant restèrent ainsi que les cendres mélangées des maisons et de leurs habitants. Montant sur son cheval, il sortit une petite flûte et se mit à en jouer gaiement. Encore une mission d’accomplie.
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Quelques heures plus tard, Haryon se trouvait près d’une petite rivière. Il était allongé sur l’herbe et profitait du soleil alors que son fidèle destrier s’abreuvait. Il avait un bras derrière sa tête et l’autre reposant paisiblement sur son ventre. En le voyant comme ça, personne ne se serait douté qu’il avait décimé un petit village quelques heures auparavant. Mais c’est ce qui faisait de lui ce qu’il était, personne ne pouvait vraiment dire ce qui lui trottait dans la tête. Il n’avait envi que de s’amuser et de retrouver ses parents, de les rendre fiers de lui. La vérité, c’était qu’il dormait paisiblement, innocemment mais il avait le sommeil léger. Si quelqu’un venait à s’approcher, il le saurait. Mais pour le moment, tout était paisible alors il avait autorisé Morphée à venir le chercher pour un petit rendez-vous en amoureux. Aller jusqu’à rêver d’un adonis après un massacre, il n’y avait que lui pour ça. Il n’éprouvait pas de remords, rien ne venait troubler son sommeil. Sa flûte était près de lui, elle lui était tombée de la main quand il s’était assoupi. Il faisait un beau tableau à peindre comme ça.
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Haryon sursauta quand son cheval se mit à l’éclabousser. Un sommeil léger ? Il était trop pris dans son sommeil et surtout dans son rêve pour ne pas avoir sursauter. Quelle lames noires il faisait ! Désespérant tout ça. Haryon se redressa et fusilla son cheval du regard. Il s’approcha de lui et pénétra dans l’eau sans même se soucier de mouiller ses chaussures, il se mit à éclabousser son cheval. Monde gamin enclenché, rien ne pourrait l’arrêter. Bon des deux, celui qui ressortit le plus mouillé fut bien évidemment Haryon qui secoua ses cheveux pour en retirer l’eau comme s’il avait été un chien. Il s’assit à côté de son sac et retira ses chaussures pour les laisser sécher. Il farfouilla dans son sac et en ressortit de quoi manger. Oui il avait fait ses provisions pour son retour chez lui avant de détruire le village. Fou dangereux mais pas idiot. Il sortit plusieurs carottes et les donna à son cheval tandis que lui il s’attaqua à un morceau de pain. Pour dire vrai ce dont il avait vraiment envi, c’était de pâtisseries surtout celles qui se faisaient juste en bas de chez lui. Tous les jours quand il n’était pas en mission, il se réveillait et se couchait avec la bonne odeur des gâteaux, de biscuits, de pâtisseries en tout genre. Il en voulait !
Il se serait presque mis à bouder tellement il en avait l’eau à la bouche. Il avait presque l’impression de les sentir d’ici. Finissant son morceau de pain, il remit tout le reste dans son sac et remit ses chaussures même si elles étaient loin d’être sèches. Il laissa quand même sa monture finir ses carottes puis monta en scelle. Un assassin menait par le bout du nez par son estomac ! Déjà vu ça ? Haryon laissa quand même son cheval allait à son rythme en rêvassant aux délicieuses pâtisseries qui l’attendait à son arrivée. IL ne s’était même pas rendu compte qu’il avait oublié sa flûte. Il y tenait pourtant beaucoup mais n’écoutant que son estomac, il l’avait oublié prés du lac. Quand il s’en apercevrait, allait-il la retrouver ou quelqu’un en aurait-il pris possession ? Quoi qu’il se passe, Haryon s’en mordrait les doigts et serait d’une humeur massacrante pendant longtemps.