Se muscler le cerveau un tantinet. Voilà ce que James avait décidé de faire de cet après-midi. Profitant du fait qu'il n'avait aucune mission en cours, sinon celle de recueillir des informations, ce dernier se rendit donc à la librairie Poussant la porte pour entrer, une petite clochette teinta, annonçant son arrivée. Le libraire auquel il avait acheté le livre sur la magie du feu se tenait là, derrière le comptoir à l'affut du moindre geste des gens qui entraient dans sa boutique. Étant déjà venu, James repéra facilement la section ésotérique de l'endroit. Cette section était quelque peu étrange mais rassurante à la fois. L'avantage lorsqu'on entre dans cette section en maîtrisant ou apprenant déjà une magie, c'est qu'on sait que les gens qui ont écrit les livres comprennent une partie de notre point de vue. Ce qui définitivement n'est pas toujours le cas quand on croise un passant dans la rue. Ainsi donc étaient disposés de nombreux livres aux couvertures plus ou moins anciennes, près d'une table où l'on pouvait s'assoir pour lire. La lecture, nourriture pour l'âme mais aussi un bon moyen de passer le temps. Le livre sur la magie du feu l'avait renseigné sur certains principes très intéressants. La magie de l'air, combinée à celle du feu pouvait créer de l'électricité. Ce qui voulait dire, qu'il pouvait aisément griller ses adversaires si le besoin se faisait présent. Il faut dire que le temps lui avait manqué ces derniers temps pour pouvoir pratiquer. Une mission par-ci, une mission par-là... Sans compter le temps des voyages aller-retour qui pouvait prendre des heures de marche. Le temps... Bien sûr, il aurait pû, avec la magie de l'air figer le temps mais lui le verrait quand même avancer avec la même vitesse.
Quoi qu'il en soit ! James avait décidé que cette fois, en plus de lire son livre sur la magie du feu déjà payé, il se mettrait à étudier un peu sur l'alchimie. L'art de la transmutation. Un sujet tellement passionnant. Non mais imaginez un seul instant que vous puissiez changer le plomb en or ! Vraiment ? C'est ce que racontent les livres aux curieux qui ne savent pas lire entre les lignes.
Non mais quel genre de gens sont assez idiots pour croire à des imbécilités pareille ! Nostradamus ? Sans doute avait-il lui-même codé ses textes, dumoins, ce qu'il en reste... Cagliostro ? Un autre prétendant être immortel... Flammel... Celui-là, il en a fait tourner des têtes avec son procédé alchimique. Le Célèbre Nicolas Flammel... James tomba justement sur un de ses livres. Évidemment, bourré de dessin, avec des caractères tellement mal écrits que quasiement illisibles et bien entendu, comme s'il n'en suffisait pas, Monsieur Flammel devait absolument écrire en plusieurs langues... Le chevalier dû se prémunir d'un dictionnaire de latin pour pouvoir déchiffrer quelques mots. C'était vraiment stupide d'écrire comme ça en langues mélangées. Bien que le latin était encore courant dans certaines villes, il y avait beaucoup de villes où cette langue avait laissé place au Français ou à l'Anglais. C'est ainsi que l'on décrivait ; "Le progrès".
Alors donc, James profitait du silence de la boutique. Le propriétaire, voyant que James s'était affairé à lire les bouquins s'était remis à ses tâches quotidiennes relatives à la boutique, passer le balai, nettoyer... ce genre de trucs qui prennent des heures mais qui sont nécessaire. Pendant ce temps là les caractères imprimés, oui parce que l'imprimerie venait de faire son apparition quelques années auparavant, faisaient leur déflié devant les yeux de James qui s'en imprégnait comme lorsqu'on déguste un met savoureux. On aurait pû dire qu'il buvait le contenu du livre. L'avantage de l'alchimie, c'est qu'elle accroît les aptitudes des mages à faire usage de la magie. En effet, plus le mage est cultivé, plus puissants sont ses sortilèges et plus son attirail de sortilège est rempli.
La magie du feu, quant à elle basée particulièrement sur des phénomènes tels que la colère, la rage, la rancune peut se montrer particulièrement destructrice. L'autre aspect, quoi que plus joyeux, est que le feu peut également être provoqué par la passion, le désir ardent, mais aussi le provoquer... Un autre fait particulier, avec l'air, on pouvait enflammer une discussion. Donc, la magie s'appliquait également à l'aspect psychologique de la chose. Alors allez imaginer une conversation qui tourne mal... Le pauvre qui fini dans cette situation risquerait de se retrouver carbonisé et ses cendres pourraient aussitôt être dispersées, ne laissant aucune trace du pauvre homme. Cela lui donnait donc un pouvoir offencif, ce que jusqu'ici, il avait eu à peine. De toute façon, tout le monde croyait qu'il ne maîtrisait que l'élément air. Cela jouait donc en sa faveur. James saurait apprécier cet atout. Parfois, moins les gens en savent à votre sujet, mieux c'est pour tout le monde...
James sentit une présence familière tout près. Il leva les yeux pour regarder autour mais il ne vit personne d'autre que le libraire. C'était tout près...
Quoi qu'il en soit ! James avait décidé que cette fois, en plus de lire son livre sur la magie du feu déjà payé, il se mettrait à étudier un peu sur l'alchimie. L'art de la transmutation. Un sujet tellement passionnant. Non mais imaginez un seul instant que vous puissiez changer le plomb en or ! Vraiment ? C'est ce que racontent les livres aux curieux qui ne savent pas lire entre les lignes.
Non mais quel genre de gens sont assez idiots pour croire à des imbécilités pareille ! Nostradamus ? Sans doute avait-il lui-même codé ses textes, dumoins, ce qu'il en reste... Cagliostro ? Un autre prétendant être immortel... Flammel... Celui-là, il en a fait tourner des têtes avec son procédé alchimique. Le Célèbre Nicolas Flammel... James tomba justement sur un de ses livres. Évidemment, bourré de dessin, avec des caractères tellement mal écrits que quasiement illisibles et bien entendu, comme s'il n'en suffisait pas, Monsieur Flammel devait absolument écrire en plusieurs langues... Le chevalier dû se prémunir d'un dictionnaire de latin pour pouvoir déchiffrer quelques mots. C'était vraiment stupide d'écrire comme ça en langues mélangées. Bien que le latin était encore courant dans certaines villes, il y avait beaucoup de villes où cette langue avait laissé place au Français ou à l'Anglais. C'est ainsi que l'on décrivait ; "Le progrès".
Alors donc, James profitait du silence de la boutique. Le propriétaire, voyant que James s'était affairé à lire les bouquins s'était remis à ses tâches quotidiennes relatives à la boutique, passer le balai, nettoyer... ce genre de trucs qui prennent des heures mais qui sont nécessaire. Pendant ce temps là les caractères imprimés, oui parce que l'imprimerie venait de faire son apparition quelques années auparavant, faisaient leur déflié devant les yeux de James qui s'en imprégnait comme lorsqu'on déguste un met savoureux. On aurait pû dire qu'il buvait le contenu du livre. L'avantage de l'alchimie, c'est qu'elle accroît les aptitudes des mages à faire usage de la magie. En effet, plus le mage est cultivé, plus puissants sont ses sortilèges et plus son attirail de sortilège est rempli.
La magie du feu, quant à elle basée particulièrement sur des phénomènes tels que la colère, la rage, la rancune peut se montrer particulièrement destructrice. L'autre aspect, quoi que plus joyeux, est que le feu peut également être provoqué par la passion, le désir ardent, mais aussi le provoquer... Un autre fait particulier, avec l'air, on pouvait enflammer une discussion. Donc, la magie s'appliquait également à l'aspect psychologique de la chose. Alors allez imaginer une conversation qui tourne mal... Le pauvre qui fini dans cette situation risquerait de se retrouver carbonisé et ses cendres pourraient aussitôt être dispersées, ne laissant aucune trace du pauvre homme. Cela lui donnait donc un pouvoir offencif, ce que jusqu'ici, il avait eu à peine. De toute façon, tout le monde croyait qu'il ne maîtrisait que l'élément air. Cela jouait donc en sa faveur. James saurait apprécier cet atout. Parfois, moins les gens en savent à votre sujet, mieux c'est pour tout le monde...
James sentit une présence familière tout près. Il leva les yeux pour regarder autour mais il ne vit personne d'autre que le libraire. C'était tout près...