Order of the Celestial Knights
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~ Ozelys Woldam ~

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▪️ Nom : Woldam
(Ce n’est en rien son véritable prénom, ce dernier appartenant au chef de la petite troupe qui la recueillit)
▪️ Prénom : Ozelys
(Un prénom qui lui a été donné par un gamin de 5, 6 ans et qu‘elle a gardé en échange du sien qui lui reste encore inconnu)
▪️ Surnom : Lys (par les membres de la troupe), petite fleur (par son père d’adoption).

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▪️ Age :
Elle doit sans doute s’approcher de la trentaine…
▪️ Date de Naissance :
Le 10 novembre a été choisi pour être sa nouvelle date de naissance par la troupe, en attendant qu’elle se souvienne de celle qui lui est propre.
▪️ Taille :
Elle se tient sur ses deux jambes à une hauteur d’un petit mètre soixante et un.
▪️ Poids :
A vous de prendre le soin de le découvrir, si vos bras ont l’occasion de la soulever…
▪️ Sexe :
Qui pourrait se tromper en la regardant ? N’est-ce pas évident qu’il s’agit d’une femme ?
▪️ Sexualité :
Hum, question bien complexe que celle-ci… Car jusqu’ici et malgré son âge, elle semble toujours refuser le moindre des prétendants qui s‘est présenté à elle… Pourquoi ? A-t-elle peur d’une telle relation ? A-t-elle déjà quelqu’un d’unique dans son cœur ? N’aime-t-elle pas les hommes ? A moins que ce ne soit tout autre chose ? Comme, ce qui me parait le plus probable venant d‘elle : le refoulement inconscient de toutes relations de cœur, et cela jusqu’aux jours où son passée lui sera rendu…
▪️ Origine :
Elle ne sait quel peut être sa terre d’origine, de naissance… Alors, pour combler ce vide, et en attendant que ses souvenirs reviennent à la surface, elle a décidé de prendre comme royaume d’origine, celui dans lequel, elle a été pris en charge par le petit groupe de baladin qui est aujourd’hui comme sa famille, c’est à dire : le Royaume de Gaïa.

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▪️ Groupe Souhaité :
Lys fait actuellement partie du peuple, en temps que saltimbanque de la troupe Woldam. Mais en a-t-elle toujours fait partie ?
▪️ Liens :
- Les 7 membres qui composent la troupe de saltimbanque du nom de Woldam, et qu’elle considère comme sa famille. (non jouable)
    * Le chef et conteur de troupe, Eliandre Woldam, un homme d’une cinquantaine d’année aux cheveux et à la barbe d’un gris argenté, qui m‘attient tout ce petit groupe soudé comme un père aimant le ferait.
    * Nirah, ancienne acrobate de la troupe qui est loin d’avoir perdu toute souplesse et aussi la doyenne de tous ses membres. Elle s’occupe un peu de tout le monde grâce à une sagesse qui lui est propre, ainsi que des repas. On se demande parfois si elle n’est pas un peu sorcière sur les bords.
    * Erros, un homme à la carrure très imposante, le faisant presque ressembler à un ours… D’ailleurs c’est lui qui s’occupe et montre en spectacle l’ours (Tidhor) et le singe capucin (Tsitsi), qui sont les autres animaux de la troupe, en dehors de Taln.
    * Will et Tim, sont deux jeunes hommes, jumeaux de surcroit, qui ne manque jamais d’énergie et qui agisse et bouge en parfaite symbiose et cela autant dans la vie que dans leur spectacle d’acrobatie.
    * Atria, la petite-fille de Nirah, qui est aussi la contorsionniste de la troupe. Son corps à une souplesse si extrême qu‘il est difficile de croire qu‘un corps peu aussi facilement se laisser plier de la sorte. De plus, elle est la plus jeune.
    * Pour finir, il nous reste Mihow, le musicien de tous ce petit monde, qui apporte à chaque spectacle sa touche personnelle et envoutante, suivant les mouvements des protagonistes, où l’histoire qu’ils comptent au travers de leur spectacle. Ces instruments peuvent aussi bien être un violon, qu’une simple flute, où même une lyre…
- Taln, un des 3 animaux qui accompagne la troupe et qui semble très proche de la demoiselle, n’est d’autre, qu’un tigre d’une douzaine d’année. C‘est par ailleurs son partenaire de représentation. (non jouable)
- Un jeune homme, qui n’était qu’un gamin de cinq voir six ou sept ans lorsqu’il croisa Ozelys, il y a de cela douze, treize ans.

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▪️ Physique :
Bon, par quoi pourrions-nous commencer l’exploration de ce corps ? Un corps doux et féminin, dont il y a peu à critiquer aux regards de certain autre… Mais comme chacun de nous le sait, les femmes sont les êtres les moins sûrs de leur apparence et de leur corps à qui elle reproche toujours au moins, ne serait-ce qu’une chose. C’est pourquoi, le fait de dire qu’elle s’aime ainsi, serait un mensonge et cela malgré qu’elle ait peu à détester… Car son corps, au-delà de sa petite taille, reste bien proportionné que ce soit par la douceur de ses courbes ou la longueur qui fut accordée à chacune de ses parties. Des jambes qui sont loin de paraitre petite, même si elles sont encore plus loin d’être interminable. Un buste fin et droit, qui lui donne un air léger de dignité et de noblesse tout en délicatesse. Et des mains fines qui ne semblent pas avoir étaient créées pour le travail, mais qui pourtant portent en leur paume de nombreuses traces d’un labeur quotidien. Au-delà de ce premier tracer positif de son corps, nous passerons à ce qu’elle ne supporte pas cher elle, au point de ne jamais le dévoiler, même à la troupe qui pourtant sait ce qu’elle cache pour l’avoir recueillit et soigné… Oui soigné, car à la place d’un dos pur et sans trace comme on pourrait le croire en essayant de la dénudé, ce dernier garde précieusement gravé dans sa chair la cicatrice d’une grande et profonde estafilade qui va de son épaule droite à sa hanche gauche. Une cicatrice fort peu agréable à contempler, malgré qu’elle soit à ce jour refermer… Le seul inconvénient en dehors de l’esthétisme désagréable de cette ancienne blessure et la douleur qu’elle peut lui faire ressentir en temps de pluie où d’extrême humidité. En dehors de cela, le reste de sa peau, est doux et agréable aussi bien au toucher, qu’à l’odeur qu‘il s‘en dégage… Une odeur particulière de fleur à la fois sauvage et fraiche tel que celle qui sont les premières, à la fin de l’hiver, à s’ouvrir pour accueillir un printemps tout proche et qui par la suite persiste, jusqu’au milieu de l‘automne, voir sa fin. Seulement, contrairement à cette fleur, son parfum à elle, perdure, traversant la saison froide avant de retrouver et de se mêler au parfum de ses consœurs végétales, dès les premières douceurs revenues.
Le corps de la demoiselle, ayant subit suffisamment de développement pour ne pas nuire davantage à sa pudeur, nous allons dorénavant passer au reste, remontant, son cou délicat et pourtant noble, qui retient avec grâce le maintien de son visage. Un visage au trait fin qui n’a pas, malgré son âge, perdu toute trace d'une certaine rondeur de trait lier à l’enfance. Des traits qui laissent se dégager d’elle, une douceur qui ne peut que nous réchauffer quand elle affiche un de ses sourires si pur et innocent. (Seulement pourra-t-elle toujours sourire ainsi, avec autant de chaleur, lorsqu’elle aura retrouvé tous les souvenirs de son enfance ?) Mais son sourire, n’est pas la seule source de chaleur qui peut habiter son visage, car en ses yeux dort un printemps des plus verdoyant… Même si ce printemps aussi annonciateur de douceurs estivales qu’il soit, peut aussi faire naitre et habiter les plus froides gelées de cette saison. Et oui, vous l’aurez sans doute compris, son regard au iris d’un vert printanière est aussi vivant et multiple que cette saison qui renferme en son sein tant de secret et de promesse pour ce qui pourrait s‘ensuivre. Pour encadrer et relever cette vie qui sommeil en elle, elle possède une chevelure sombre au nombreux reflet et à la longueur plus que généreuse, étant donné que cette dernière descend jusqu’à ses genoux. Bien sûr, il n’est pas évident de le voir en temps normale, puisque qu’il est rare, vraiment très rare de la voir déambuler les cheveux lâché à même le vent, en dehors de la caravelle qu’elle habite avec les deux autres femmes de la troupe. Malheureusement pour nous, elle n’aime pas trop les laisser libres, préférant, la complexité d’une coiffe qui est bien plus simple qu’il n’y parait aux premiers abords. Ornant régulièrement sa coiffe de fleur dès que la saison s’y prête.
Et voilà, nous arrivons à la fin de cette description, la seule chose qu’il me reste encore à dire, n’a d’autre rapport qu’avec la toilette de la jeune demoiselle. Un vestimentaire très peu fournit étant donné sa condition de saltimbanque, mais qui n’est pas pour autant dénuer d’une certaine élégance, car malgré la simplicité des coupes, les robes qu’elle porte ont leur charme et leur originalité quelque peu coloré pour la plupart. Mais cela n’a rien d’anormal, car une troupe comme la leur ou comme d’autre, doit bien attirer un premier regard à tout les spectateurs potentiels qu’ils peuvent croiser et ainsi les inciter à venir les découvrir un peu plus tard… Donc peu de couleur froid et beaucoup de couleur chaude recouvre le corps qui est le sien et cela avec finesse, caressant ses courbes, les laissant ainsi se deviner sous les tissus de ses vêtements, sans qu’elle n’est à en rajouter, ni à en enlever.

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▪️ Caractère :
Que pourrait-on dire d’elle ? Elle, un être qui malgré un caractère actuel assumer, ne peux s’empêcher de se demander si au fond, elle n’est pas quelqu’un d’autre. Et si avant qu’elle ne rejoigne la troupe, sa façon d’être et de paraitre était différente de celle qu’elle est aujourd’hui, que cela soit en bien, ou plutôt en mal quand elle sait que son passé lui a valu une blessure qui aurait put l’amener à la mort.
Mais elle garde le plus souvent ce genre de rares et sombres pensées qui peuvent la parcourir par instant pour elle seul. Les justifiant toujours du mieux qu’elle peut en se disant que tout être quel qu’il soit évolue et ne stagne pas dans son état d’esprit… Alors, qu’importe ce qu’elle à put être par le passée. Et d’ailleurs, il se peut même, si elle n’avait rien oublier, qu’elle aurait fini par être celle qu’elle est en ce jour, qu’elle est ou non oublié tout ce qui la concernait. De plus, elle n’a pas l’impression d’être en contradiction avec ce qu’elle donne et montre à la face du monde et de ceux qui l‘entourent. Même si elle ne peut s’empêcher d’avoir peur du jour où ses souvenirs referont surface et lui dévoilerons ce qu’il en est vraiment d’elle. Cependant, et malgré cette peur qu’elle garde caché en son cœur, elle parcourt les routes en compagnie de la troupe Woldam, avec l’espoir de remettre la main sur ce passé enfouie.
Mais revenons à l’Ozelys actuelle, celle qui nous intéresse, que nous connaissons pour l’heure et donc la seule sur laquelle nous pouvons parler. Nous commencerons par ce qui se voit en tout premier lieu cher elle : son sourire, d’où se dégage une impression de douceur et de chaleur presque, comment pourrait-on le définir… maternel. Un sourire qu’il est impossible d’imiter par la sincérité qu’il s’en ressent. Bien sûr, nous ne pouvons pas dire qu’elle sourit tout le temps et à toute chose, cela serait même malvenu, enlevant toute fraicheur à cette expression, si naturel et apaisant qu’il en ressort.
A cela, nous pouvons peut-être croire qu’elle est une personne qui ne montrera que douceur qu’importe ce qui peut arriver, mais la aussi nous nous tromperions… Car oui, elle sait et peut garder son calme en de nombreuses circonstances, mais il ne faut pas croire qu’elle ne possède aucune volonté suffisamment forte pour se dresser face à un être qui lui aura déplus quelque soit son rang, sa classe. C’est une peur qui étrangement, elle ne possède pas. Pouvant affronter droit dans les yeux ceux contre qui elle se dresse, comme si elle renfermait une certaine dignité et fierté, malgré qu’elle ne semble du haut de sa petite taille ne pas faire le poids.
Et souvent à cause de cette petite partie d’elle-même, des plus déterminé et qui ne peut admettre l’abandon par simple écart de force physique ou sociale… Elle en vient à régler les rares divergences qu’elle peut croiser sur sa route et qui semble ne pouvoir se régler d’eux-mêmes dans la simplicité d‘un échange de parole civilisé, grâce à des paris. Des paris qu’elle ne gagne pas toujours, mais qui lui permette de ne rien regretter de ses faits et gestes, la faisant avancer sans pour autant rentré en désaccord avec elle-même. Cela même si la fin n’est pas toujours agréable et faite de douceur…
Malheureusement, ce comportement qui est un défaut pour une personne du peuple, telle qu’elle l’ait, n’est pas le seul qu’elle possède, même si l’autre est disons… Un peu plus passable. Malgré le fait que l’on en vient souvent à pensé qu’elle le fait exprès, ce qui n’est nullement le cas, bien sûr. Seulement, elle est d’une maladresse si extrême qu’elle nous fait facilement douter de son naturelle. Nous faisant croire qu’elle joue un rôle, alors qu’elle est bien loin d’une telle tromperie. D’ailleurs pourquoi le ferait-elle exprès, et jusqu’à ce point là ? Cela n’aurait aucun sens… Heureusement, à côté de cela, elle a aussi pas mal de chance, car elle ne sait jamais vraiment blesser à cause de cette maladresse, une petite coupure par là, un bleu par ici, voilà pour l’instant jusqu’où ce défaut la amené.
Mais assez parler de tout ça… S’il vous vient l’envie d’en savoir plus sur elle, je vous laisse le soin de la rencontrer et de voir par vous-même qui elle peut bien être. Car comme chacun de nous le sait, nous sommes différent de ce que nous croyons être, au travers les yeux de ceux qui nous entour. Il existe donc autant de facette de notre personnalité qu’il existe de connaissance, d’amis,… De plus, nous évolue constamment, et il me tarde de voir dans quel sens cela se fera pour notre cher amnésique.

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▪️ Signes Particuliers :
- Nous en avons déjà parlé dans le détail de son physique, mais nous rappellerons, qu’une cicatrice passe en son dos, de son épaule droite à sa hanche gauche.
- Ozelys possède aussi, une tache de naissance semblable à un petit papillon sur son flanc droit, et plus précisément au niveau de la courbe de la taille.

▪️ Aimes :
- La troupe qui la recueillit (humains et animaux confondus)
- La neige tombante et recouvrant tout d’un drap immaculé
- Dormir à la belle étoile dès que la douce saison revient
-

▪️ Détestes :
- Le vide qu’elle ressent au plus profond d’elle-même
- La douleur de son dos lorsque survient la pluie
- La violence gratuite et injustifiable
- Voir quelqu’un pleurer
-

▪️ Couleur :
Le Blanc reste sa couleur, même si elle en porte peu…

▪️ Devises :
- Etre ou jouer le jeu voilà la question de la vie entière.
- Une vie ne vaut d’être vécu, si elle n’est faite que de regrets.
- Comme un lys enfermé dans un coffret d’ébène.

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~ LE JOUEUR ~


▪️ Prénom ou Surnom : Papillon
▪️ Expérience RPG :
Comment dire, ni vraiment bonne, ni vraiment mauvaise, je vous laisserais donc seul juge de mon expérience dans le domaine. Tous ce que je peux en dire, c’est que je ferais de mon mieux pour suivre tout ce joli palmarès d‘écrivain qu‘il semble avoir ici…
▪️ Comment avez-vous connu le Forum :
En recherchant presque désespérément un forum qui puisse m’attirer et m’inspirer une histoire après une absente plus ou moins longue, selon les point de vu de chacun… Ce petiot, je l’ai donc découvert, lorsque je fouinais sur quelques tops site.
▪️ Code du Règlement :
Spoiler :

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~ Histoire ~

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Bienvenue à vous, gentes dames et gentils homme, n’ayez pas peur, approcher ! Approcher et prenez place, car ce soir nous vous présenterons un spectacle différent, qui n’aura qu’une seule chance pour vous convaincre et vous faire voyager au travers d‘un unique récit.
Un spectacle sans le moindre doute, moins impressionnant que ceux qu’il nous ait déjà arrivé de vous présenter, mais qui n’est pas dépourvu de tout intérêt. Donc écoutez et faites-en vous votre propre opinion… Et si ce simple récit n’est pas à votre goût, il vous est toujours permis de quitter le rang des spectateurs. Seulement, je vous demanderais de le faire dans le silence pour ne pas perturber ceux qui m’écouteront.
Bien, si vous le voulez bien, commençons !

Notre histoire début aux prémices d’une vie… d’une vie nouvelle qu’il nous a été donné à moi et ma troupe de trouver en ces terres, il y a de cela près de 13 ans maintenant. Cette vie dont je vous parle, ne tient pas de la naissance d’un être, mais de la découverte d’un être. Cet être dont je vous parle s’était échoué sur la berge de la rivière à côté de laquelle, la route que nous empruntions passé. Nous avions d’abords cru qu’il s’agissait d’un cadavre abandonné par un bandit de grand chemin. Mais en nous approchant pour ne serait-ce que le mettre en terre, et lui offrir une sépulture aussi modeste et naturel soit-elle, nous découvrîmes que toute vie n’avait pas encore quitté ce corps. Le corps d’une jeune fille d’à peine 15 ou 16 ans…
La transportant jusqu’à l’un de nos chariots, Nirah, mis tout son savoir-faire pour essayer de la soigner, malheureusement, même elle, doutait que cette jeunette puisse survivre bien longtemps. Les trois prochain jours serait décisif… Cela n’enchanta guère la petite troupe qui du, ce lapse de temps, rester sur place. Si cela avait été pour un des membres, ils n’auraient rien dit, mais là, pour une inconnu. Cette histoire en agaça certain, qui ne furent pas bien long à venir se plaindre et presque à exiger l’abandon de la demoiselle et le départ de la troupe pour le prochain village. Car après tout, n’avait-elle pas, aucune chance de survivre ou si peu..? Alors pourquoi aider un être inutilement ?
Ah, ces jeunes artistes qui ne connaisse encore rien de cette vie dont ils ont choisit de prendre le chemin, mais passons, je ne suis pas là pour leur faire la morale, même si à cette instant, je n’ai put m’empêcher de leur rappeler quelques leçons qu’il semblait avoir oublié. Suite à ça, certains se sentir gêner de leur réaction, alors que d’autres furent quelque peu frustré, si ce n’est plus en colère, c’est alors que mon ami de toujours, Erros, intervint pour leur signaler que s’il ne pouvait respecter mes choix, il n’avait qu’à former leur propre troupe dès le départ. Ce qu’ils décidèrent de faire, faisant passer notre troupe de 15 membres, à 9. Les plus anciens, restant, alors que les toutes fraiches et jeunes recrues repartir au travers des routes…
Comme partout ailleurs, il n’y a que dans ce genre de situation que l’on se rend compte des êtres sur qui ont peu le plus compter, et cela même si à l’époque je ne voulais guère qu’on en arrive jusque là. Ouh la, attention, je comme à m’égarer du chemin principale, alors revenons à cette demoiselle aux portes de la mort, qui grâce au bon soin de Nirah et à beaucoup de chance passa les trois jours fatidique. Sa vie ne semblait plus en danger d’après notre doyenne, mais qu’il lui faudrait sans doute et encore quelque temps pour qu’elle puisse s’en remettre…
L’interdiction de voyager étant passée, nous reprîmes notre route…
Arriver dans un village, nous avons installé notre scène éphémère annonçant au travers des chemins que la troupe Woldam serait en ville pour la semaine avant de reprendre son périple. Durant cette semaine, notre jeune inconnu ouvrit enfin les yeux, même s’il lui était encore impossible de se lever, sa blessure étant encore bien trop fraîche. Nous lui avons raconté sa découverte, lui demandant par se biais et sans se montrer directe de nous expliquer ce qu’il avait bien pu lui arriver, mais elle ne prononça aucun mot, ces yeux répondant suffisamment d’eux-mêmes pour nous faire comprendre qu’il n’était pas encore temps pour elle de nous répondre. Elle était encore en état de choc. Malgré cela nous lui demandions si elle ne voulait pas que l’on prévienne quelqu’un qui pourrait venir la chercher et peut-être lui apporter de meilleur soin que les nôtres. Mais là encore, nos questions restèrent sans réponse, alors, ne voulant pas la désorienté davantage, nous avons convenu de la laisser tranquille jusqu’à ce qu’elle veuille bien nous parler d’elle-même ou tout du moins, jusqu’à ce qu’elle soit suffisamment guérir pour reprendre la route de sa propre volonté et de son côté.
Le premiers, ainsi que le deuxième mois passèrent de village en village, de représentation de rues ou représentation privé pour de noble seigneur, en représentation, mais toujours aucun mots, sons ne s’échappaient de ses lèvres. Qu’avait-il bien put lui arriver avant qu’on la récupère ? Cette question me reste sans réponse… Elle ne quittait pas non plus sa couche, même si elle commençait à pouvoir se redresser et qu’il ne lui manquait plus grand-chose pour se décider à en sortir. Je lui apportais ses repas, mais elle n’y touchait presque pas, j’essayais de lui parler, mais même moi qui n’avais d'ordinaire aucune difficulté à m’exprimer, me sentais complètement perdu face à ce manque total de réaction… Je ne savais que faire.

Heureusement pour elle, elle commença à changer lorsque nous nous sommes arrêtés dans une certaine ville pour une durée de tout un mois. Un temps bien long pour une troupe comme la notre, mais qui s’explique par les festivités qui allait s’y dérouler et qui s‘y succéderait.
Lors de notre deuxième représentions, alors que tout le monde était occupé à distraire la foule, un gamin, se faufila comme un petit voleur jusqu’à notre campement aux abords de la ville. Quel était son but premier ? Ça, il me serait impossible de le dire, mais lors de sa recherche, il tomba nez à nez avec notre blessé qui, assisse avec droiture dans sa couche regardait à travers la fenêtre de la roulotte.
Toujours aussi silencieuse, elle tourna la tête à la venue de ce nouveau visage et le regarda de ses yeux vides… Le gamin tout d’abords gênée resta immobile et bloquer sur place pendant quelques petites minutes, avant de prendre la parole avec une rapidité maladroite et mal assuré.

« - Excusez-moi… Je... Je ne voulais pas vous déranger… »

Il rougit de sa gêne et fit demi-tour en courant, mais dans sa course, il s’arrêta net, repensant à la jeune femme qu’il venait de voir et qu’il n’avait pas vu dans le premier spectacle de la troupe. Qui était-elle ? Sa curiosité avait prit le dessus et il retourna à la roulotte, regardant tout d’abords à la fenêtre de cette dernière pour voir si la jeune femme était toujours là ou non. Et elle était là, toujours aussi immobile et aussi inerte qu’il l’avait trouvé un peu plus tôt. Prenant son courage à deux mains, le gamin, s’avança vers la porte de la roulotte, l’entrouvrant pour y passer juste la tête avant de passer le reste de son corps. Le regard vide de la jeune femme fit à nouveau frissonner le gamin, mais celui-ci s’approcha, sa curiosité étant trop forte. Il alla s’asseoir au pied de sa couche et il commença à lui parler, d’une manière un peu hésitante sur le début, puis de plus en plus librement. Lui posant mille et une questions, auxquels elle ne pourrait répondre, même si cela lui avait été possible. Le débit de parole de ce jeune garçonnet, ne paraissant pas connaitre de fin, ni d’interruption. Il faisait à lui seul les questions et les réponses et pendant ce temps notre jeune inconnue ne détachait pas ses yeux de lui, malgré qu’elle ne semblait pas être réceptive à tant de paroles.
C’est alors que notre troupe de retour au campement, le surpris et le questionna sur sa présence en ce lieu. Il ne savait ou ne voulait pas répondre, mais son mutisme m’amusa plus qu’autre chose, surtout après le débit de paroles que j’avais crut entendre avant de le découvrir.

« - Bien, oublions ça gamin, que dirais-tu d’un échange ? Si tu reviens ici parler avec cette jeune fille et que tu arrives à lui faire prononcer, ne serait-ce qu‘un mot en ma présence, nous t’offrirons… »

« - Je pourrais avoir votre singe ? »

« - Hum… Je ne pense pas qu’Erros, ainsi que Tsitsi soit d’accord, il sont vraiment très proche tout les deux. Par contre, je peux te proposer d’approcher Tsitsi et même de monter Tidhor notre ours, si cela te convient »

« - Et votre tigre, je ne vais pas pouvoir l’approcher et le toucher ? »

« - Il ne vaudrait mieux pas étant donner que c’est une femelle sur le point d’avoir un petit et qu’elle se montre quelque peu agressif à cause de cela, nous obligeant même à la retirer de nos spectacle ces derniers temps. »

Le jeune garçon accepta sans beaucoup plus de négociation, car après tout, lui aussi aimerait bien connaitre le son de la voix de cette jeune fille. Demandant le pourquoi du silence qui habitait cette étrange jeune femme. Je ne sus lui répondre, lui expliquant tout simplement que nous l’avions trouvé blesser et presque noyer aussi et que depuis, elle était ainsi. Que je ne connaissais rien d’elle et de ce qui l’avait amené à être ainsi. Mais que peut-être, lui, qui arrivait si facilement à lui parler pourrait réveiller quelque chose en elle.

Revenant le lendemain, il salua les artistes tout en se dirigeant directement vers la roulotte où reposé notre rescapé. Mais il arriva un peu tôt et découvrit en ouvrant la porte, Nirah qui lui changait ses pansements, lui dévoilant une blessure des plus impressionnante malgré qu’elle soit presque cicatriser… Le gamin fit des grands yeux, la blessure dont lui avait parlé le chef de la troupe était aussi grande que ça ? Il resta silencieux et calme jusqu’à ce que les soins soit fini et quand la vieille dame quitta la roulotte, il s’approcha de notre inconnu, brisant son silence et déballant un flot presque continue de parole sous des larmes qui commençaient à lui venir, ne pouvant les contenir plus longtemps. Ce gamin qui la connaissait à peine depuis la veille, pleuré déjà pour elle, une enfant sans nom et presque sans vie…
Mais ces pleures qui rendaient ses paroles presque incompréhensible firent réagir quelque peu la demoiselle qui s’approcha d’elle-même du garçonnet, tendant sa main pour passer un de ses doigt sous ses yeux et essuyer ses larmes avec douceur, une douceur fragile. Il releva les yeux vers elle et d’un ton décider, lui dit qu’il devinerait ce qu’il lui était arrivé et qu’elle n’aurait pas besoin de mots pour ça, qu‘elle n‘aurait qu‘à l‘écouter. Sur cette bonne résolution, il entreprit de lui raconter des passés possible, voir totalement improbable qui aurait put se produire avant qu’elle soit recueillit et soigner par notre troupe.
Elle eut le droit à une vie de princesse qu’on oblige à marier, d’enfant abandonner qui fait tout pour survivre, de nymphe des bois qui aurait travers les frontières entre le peuple de l’invisible et celui des humains au risque de sa vie, d’héroïne sauvant quelqu’un contre sa propre vie, d’une jeune fille de bonne famille trahit par une personne en qui elle avait toute confiance… Et encore bien d’autre vie qu’il lui créa, plus tragique les unes que les autres et qui aurait put expliquer avec réalisme ou non son état actuel.
En temps que conteur, je ne peux que m’incliner devant l’imagination débordante et toujours pleine de vie, de rêve d’un enfant. Mais là, n’est pas l’intérêt de mon histoire, ni des siennes, qui petit à petit réanimèrent l’esprit éteint de notre protéger. Remplissant à nouveau ses yeux vide, d’un semblant de vie, puis, vient un sourire et elle commença aussi à sortir sous l’influence du garçon qui lui faisait faire quelques pas à l’extérieur, sans l’amener bien loin, de peur que sa blessure se réouvre. Il prit tellement son rôle à cœur, qu’il en oublia le deal passé et le temps s’écoula sans qu’il ne remarque que le dernier jour du mois que nous passions en ville, était déjà là.
Il s’était attaché et ne voulait pas que nous partions, seulement, notre vie est sur les routes, contrairement à la sienne. Notre art, ne peut marcher si nous restons sans cesse statiques et cloitré dans un lieu. Il y perd son intérêt, n’êtes-vous pas d’accord avec moi ?
C’est notre jeune rescapée qui alla le consoler d’une manière bien unique, en se coupant une fine mèche de cheveux qu’elle enroula d’une fleur printanière avant de la lui tendre. Elle n’avait toujours pas prononcées un mot, mais elle avait reprit vie grâce à lui et son monologue du départ avait finit par se transformer en une discussion, un échange, même si elle gardait le silence, ne lui répondant que par geste où expression qu’elle pouvait afficher. C’est ainsi qu’il nous apprit qu’elle n’avait aucun souvenir de ce qu’il s’était passé avant que nous ne la trouvions, ayant oublié jusqu’à son nom. Et c’est peut-être pour cette raison, qu’il me souffla à l’oreille le choix d’un nom qu’il trouvait fait pour elle. Et savez-vous quel nom il lui donna ? Le nom que nous lui connaissons aujourd’hui, un nom qu’elle a accepté et qu’elle porte très bien…
Ozelys…

Notre voyage continua de village en village, de contrées en contrées, de royaume en royaume, de spectacles en spectacles… Ozelys sortait de plus en plus souvent de la roulotte, se proposant pour diverses tâches et apporter son aide à notre petite troupe.
Puis, arriva la naissance d’un petit tigre qui n’apaisa pas la mère devenu très nerveuse depuis qu’elle portait se petit en son ventre. Son comportement était étrange, elle délaissait son petit et lui grognait dessus, pour finir par l’agresser s’il s’approchait trop près. Nous dûmes donc les séparer, mais le petit tigre ne voulait pas être séparé de sa mère aussi facilement, même si cette dernière le rejette sans cesse.

Il faut avouer que certain lien ont une force qu’il ne faut guère négliger, des liens qui peuvent détruire, mais auxquels on s’attache pourtant de toute notre énergie qu’importe le résultat final et la déchéance vers laquelle cela peut nous mener…

Notre jeune fauve se débattit si bien qu’il en était devenu impossible à nourrir et si cela continuer, il pourrait le perdre à peine, à quelques heures de la naissance. C’est alors qu’Ozelys, nous tendit des mains vides, comme si elle nous demandait de lui confier le petit sauvageon. J’acceptais, curieux de ce qu’elle pourrait faire et Erros lui remis la petite boule de poil. Elle partit ensuite vers les bois près desquels nous avions mit notre campement et nous nous apprêtions à la suivre lorsqu’elle se retourna, nous regardant droit dans les yeux avant de secouer la tête d’un signe négatif, comme pour nous dire de ne pas la suivre.
Je dois bien avouer que nous nous inquiétions, mais nous avons attendu, aussi sagement que nerveusement, à la lueur de notre feu de camp qu’elle refasse son apparition. Ce qu’elle fit quatre heures plus tard, toute sale et tremper jusqu’à l’os tout comme le bébé tigre qui semblait s’être calmé, ne gesticulant plus dans ses bras. Nous nous précipitions vers elle pour savoir ce qu’il avait bien put se passer, mais à peine arriver à sa rencontre, elle s’évanouie. Nirah, ce doutant qu’elle avait du user plus que de raisons de ses forces encore fragile et incomplète, nous donna des consignes et elle fut bientôt de retour dans son lit, où la vieille femme prit soin d’elle… Quand à notre petit tigre, que l’on avait presque oublié sur le moment, il griffait à la porte de la roulotte, comme s’il voulait absolument la rejoindre. Que s’est-il passé dans ses bois ? C’est une question à laquelle, elle me répondit le lendemain d’une voix douce et claire qui sortait pour la première fois d’entre ses lèvres depuis que nous l’avions recueillit… En me disant tout simplement qu’elle lui avait fait accepter le fait d’être sa nouvelle mère. Cette réponse n’était pas très clair, mais elle me suffit sur l’instant, car la surprise de sa voix retrouvait me laissa moi-même pendant quelques instants sans voix. Elle s’en excusa d’ailleurs, me révélant qu’elle n’avait jamais réellement perdu sa voix, mais qu’elle avait eu peur jusqu’ici de l’utiliser…
Vu ce qu’elle avait sans doute vécu, rien de cela pouvait être considéré comme anormale, mais suite à ce retournement, je ne pus m’empêcher de m’assurer qu’elle n’avait réellement aucun souvenir de son passé, ce qu’elle confirma avec une légère tristesse dans le regard.

« - Bien, alors n’en parlons plus, quand le moment viendra tout cela te reviendra, donc je ne te forcerais pas à te souvenir, mais sache que si tu veux te confier, chacun de nous est là pour t‘écouter, nous sommes une grand famille après tout.
Ah ! Et avant que je n’oublie, reprend-le… Il semble qu’il t’ait réellement accepté comme mère nourricière. »


Elle me sourit avec douceur sans me répondre, prenant le petit tigre dans ses bras qui se calma dès qu’il se retrouva blotti dans les bras d’Ozelys.

Vous croyez que notre histoire peu s’arrêter ainsi ? Et vous faire faire une simple ellipse de 12 années de vie pour arrivé jusqu’à notre époque… Il est encore trop tôt pour cela, il me reste encore une ou deux petites anecdotes à vous contez et après je vous libère de mes histoires de vieil homme.

Reprenons donc… Peu après qu’elle ait commencé à prendre soin de ce petit fauve, sa mère s’échappa de sa cage et nous dûmes la tuer, mais cela entraina des pertes, car elle tua elle-même deux membres de notre troupe. La fille de Nirah et son époux, c’est-à-dire les parents d’Atria. Nous faisant tomber à sept membres, huit, si à partir de maintenant nous comptons Ozelys. Toutes ses pertes d’un coup apportèrent leur lot de tristesse, mais c’était aussi le risque de ce métier de vagabond. Encore que ceux qui ne sont pas accompagné de bête sauvage, n’ont qu’à se méfier des bandits…

Puis, on peut dire que la vie continua son bout de chemin, avec ses aléas, Taln, prenant de plus en plus de place, du aller dormir dehors, mais parfois, il s’y refuse, et elle va avec lui pour dormir à la belle étoile à ses côtés, comme si seul sa présence pouvait calmer l’animal sauvage qui dort en lui. Au fils de se temps qui passait, elle intégra même le spectacle avec un numéro qui la mettait en scène au côté de ce tigre devenu jeune adulte, puis adulte.
C’est d’ailleurs, lors d’un de ses spectacles qu’elle cru voir un homme sortie de son passé au milieu de la foule qui était venu à leur représentation… C’était il y a de cela quatre ans. Juste après la représentation, elle se mit à le suivre, ne voulant pas perdre cette impression de déjà vu qui ne la quitter pas en le regardant. Mais arriver devant sa maison qui ressemblait plus à une demeure de maitre, elle du se résoudre à abandonner la poursuite.
De retour au campement, cette impression ne voulait pas la quitter et son esprit qui essayait de comprendre ce qu’elle avait put voir en lui, ne put pas trouver le sommeil, la poussant en plein milieu de la nuit à revenir vers cette immense demeure.
Comment pourrait-elle y entrer ? En sonnant à la porte ? Ce n’était pas une très bonne solution, surtout si cette homme était lier à son ancienne blessure… Il n’y avait donc qu’un moyen, rentré discrètement. Ce en quoi à cause de sa maladresse, elle n’est pas vraiment douer. Ses entrées, même sur scène, son rarement calme et réussit. Mais il fallait absolument qu’elle trouve une réponse aux questions qu’il avait éveillées en elle. Se servant de quelques tours d’acrobaties qu’elle avait apprit de Will et Tim, elle grimpa le long de la façade la moins exposer pour pénétrer dans la demeure. En passant la fenêtre, elle faillit faire tomber un vase qui se trouvait juste à côté, mais le rattrapa à la dernière seconde. Son cœur, nerveux, bâter la chamade, mais elle respira en se disant que ce n’était pas aussi terrible que de s’étaler de tout son long pendant le spectacle…
Avançant dans la pièce sans vraiment savoir ce qu’elle était vraiment venu chercher ici, elle tomba sur un livre qui attira son attention. Un livre sur les armoiries qui peuvent exister sur cette terre… Avait-elle connu un noble par le passé ? Avait-elle était à leur service ? A moins que ce soit l’un d’eux qui l’ait tué ? Voici toutes les questions qui vinrent à son esprit quand la première des pièces du puzzle de son passé enfouie, se présenta à elle. Cette pièce qui l’avait attiré ici par la discrète présence d’un de ces écussons sur la cape de l’homme qu’elle avait suivit. Ce n’était donc pas lui, mais ce qu’il avait affiché qui avait attiré son attention…
Mais elle se demanda aussi… Pourquoi maintenant ? Ce n’était pourtant pas la première fois qu’elle voyait une armoirie. A moins que ce soit la représentation de cette dernière qui, pour la première fois a éveillé quelque chose en elle. Et celle-ci plus particulièrement... avait-elle un lien avec son passé ou n’était-ce que la coïncidence d’une ressemblance ?
Elle n’eut pas le loisirs de pousser plus loin sa réflexion, que le livre qu’elle feuilleté, glissa de ses mains tremblantes, faisant un bruit sourd lorsqu’il atterrit sur le sol de la pièce. Elle entendit alors, des bruits de pas venir dans cette direction… Prenant peur, elle rebroussa chemin, bousculant à nouveau le vase qu’elle avait sauvé de justesse un peu plus tôt, pour finalement, le briser maintenant et s’échappait à toutes jambes sans regarder derrière elle, même lorsqu’elle trébucha 3 ou 4 fois sur le chemin plongé dans la nuit noir et profond qui lui permettait de rejoindre le campement et la chaleur apaisante de Taln.

Et depuis, dans de nombreuses villes ou villages où nous avons fait halte pour quelques représentations... Nous entendons des rumeurs, sur la présence d’un voleur, même si ce dernier n’a, à ce jour, jamais rien voler.
Mais chut, cette dernière informations à son sujet n’est pas sensée être connu des autres membres de la troupe, car même si personnellement j’ai remarqué quelques absences nocturnes, je n’irais pas l’arrêter temps qu’elle ne mettra pas sa vie en danger. Par ailleurs, j’ai pu constater que je n’étais pas le seul à l’avoir vu quitter notre campement, Taln, semble la suivre discrètement et revenir avant elle comme si de rien n’était. J’espère simplement que personne ne le remarquera car un tigre en liberté et en pleine ville pourrait en faire paniquer plus d’un, même si nous, nous savons que temps qu’Ozelys est là et ne court aucun danger, il ne fera de mal à personne…
Oh, mais ne vous inquiétez pas, il a sa cage, seulement, il n’aime guère y être enfermer particulièrement seul, ne gardant son calme que lorsque notre jeune fleur va le rejoindre. Ce qu’elle doit faire lorsque nous voyageons et particulièrement quant nous arrivons aux postes frontières qui bordent les royaumes de ce monde.

Mon récit va maintenant prendre fin, car la suite, n’est pas encore écrite, mais lorsque le temps viendra et si vous êtes toujours intéressé peut-être qu’une autre représentation tout aussi unique que celle-ci refera son apparition de part cher vous… Enfin, s’il nous est toujours possible de travers vos contrées, car l’époque que nous traversons rend nos voyages quelque peu plus compliqué…
Mais n’ayez crainte, lorsque le moment de nous revoir viendra, qu’importe le temps que cela prendra, je vous accueillerais de nouveau devant moi pour partager avec vous tout ce que nous aura réservé cette première étape.

En espérant que ce petit spectacle vous ait plus, je vous souhaite de rentrer sans encombre…
Bien le bonsoir, gentes dames et gentils hommes qui êtes restés jusqu’à la toutes fins.

Ozelys Woldam 100208113443910220Ozelys Woldam 100208113528913058

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~ Chère Ozelys

Je te souhaite la Bienvenue sur Celestial Knight !
Je suis vraiment très heureux de t’accueillir !
C’est une très belle fiche je n’ai vraiment rien à redire.
Ton histoire est tout simplement passionnante et très agréable à lire.
J’ai hâte de découvrir ton passé… car je suis un peu curieux de nature ^^
J’espère que tu t’amuseras bien parmi nous
Sur ce je te dis Bravo !

Tu es Validée !

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Merci à toi, pour cet accueil et ces compliments !

Même si je ne sais pas encore, si je pourrais combler ta curiosité à l'égard de mon passé...

descriptionOzelys Woldam EmptyRe: Ozelys Woldam

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Un personnage simple, doux et agréable. Ca fait plaisir de voir quelqu'un de ce genre-là.
J'aime vraiment. (Et je dois avouer que j'ai un petit faible pour les saltimbanques et l'univers du cirque en general)

Bienvenue à cette jolie demoiselle.

descriptionOzelys Woldam EmptyRe: Ozelys Woldam

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