L’antre de Gundramm est dissimulé sous les sables du désert de Mordred. Seuls ceux qui y sont déjà entrés sont habilité à déterminer où se trouve l’entrée. C’est dans ces territoires où règnent les rayons du soleil que le nécromancien décida d’élire résidence. Les atouts qu’offrent une telle place ne sont pas négligeables : Solitude, très vaste superficie (ce qui sous-entend que l’étendue de son domaine labyrinthique en sera d’autant plus complexe et grande) et de plus grandes chances de trouver des humains desséchés à la lumière du soleil, ce qui a pour conséquence qu’ils sont seulement mort de soif et que leur anatomie n’a subi aucun dégât particulier.
La trappe découverte et ouverte, un long escalier accueille les arrivants. Des torches sempiternelles éclairent d’une faible lueur les quelques marches escarpées, seules témoins d’un passé prétendu horrible qui constitue l’histoire de ces lieux Cet escalier mène celui qui l’emprunte à une vaste salle carrée. Les murs sont recouverts par de nombreuses étagères où meublent livres anciens et autres accessoires de magie et de biologie. Le sol est parsemé de dalles et est à plusieurs endroits recouvert par des tapis de différentes tailles ; ceux-ci pouvant mener à d’autres salles comme à des étagères spécifiques certaines contenant plus d’objets que d’autres et de catégories différentes. Néanmoins, dans le coin nord-est de la salle, trône un grimoire ouvert au milieu placé sur un meuble permettant une lecture aisée et parallèle à l’exécution d’autres tâches, ce qui n’empêche tout de même pas de le valoriser quant aux autres éléments constitutifs de la zone. Deux tables accolées l’une à l’autre semblent former un espace de travail. S’y distinguent moult documents textuels comme des fioles, des potions –remplies ou non de liquides aux couleurs et aux textures toutes différentes – sur lesquelles ne repose aucune étiquette.
A chaque point cardinal est placé un couloir qui sont aux aussi très faiblement éclairés,, voire même moins que l’escalier principal. Le couloir est mène à une très petite salle où sont entreposés des cartons et des caisses. Toutes sont minutieusement refermées mais contiennent néanmoins des morceaux de cadavres, des plantes et des ustensiles en nombre. Bien qu’elle ne soit pas visible à l’œil nu, une trappe se cache sous la moquette qui recouvre le sol de cette pièce. La salle ouest semble être une sorte de prison : Des cages de fer hautes de la taille d’un être humain normalement constitué sont retenues par des accroches au plafond. Le balancement de ces cellules provoque un grincement qui pourrait même entrainer la folie de celui dont on veut soutirer des informations. Personne ne sait si Gundramm les a entreposées ici de son propre chef ou si elles étaient déjà présentes bien avant son arrivée. Au nord, le ton change radicalement : Les murs sont parsemés de motifs nécromantiques et démoniques. Se dessinent des mages procédant à divers rituels et se mutilant à la gloire de cultes inconnus à l’ensemble du commun des mortels. Au fin fond de la salle une torche éclaire ce qui semblerait être un escalier…
La trappe découverte et ouverte, un long escalier accueille les arrivants. Des torches sempiternelles éclairent d’une faible lueur les quelques marches escarpées, seules témoins d’un passé prétendu horrible qui constitue l’histoire de ces lieux Cet escalier mène celui qui l’emprunte à une vaste salle carrée. Les murs sont recouverts par de nombreuses étagères où meublent livres anciens et autres accessoires de magie et de biologie. Le sol est parsemé de dalles et est à plusieurs endroits recouvert par des tapis de différentes tailles ; ceux-ci pouvant mener à d’autres salles comme à des étagères spécifiques certaines contenant plus d’objets que d’autres et de catégories différentes. Néanmoins, dans le coin nord-est de la salle, trône un grimoire ouvert au milieu placé sur un meuble permettant une lecture aisée et parallèle à l’exécution d’autres tâches, ce qui n’empêche tout de même pas de le valoriser quant aux autres éléments constitutifs de la zone. Deux tables accolées l’une à l’autre semblent former un espace de travail. S’y distinguent moult documents textuels comme des fioles, des potions –remplies ou non de liquides aux couleurs et aux textures toutes différentes – sur lesquelles ne repose aucune étiquette.
A chaque point cardinal est placé un couloir qui sont aux aussi très faiblement éclairés,, voire même moins que l’escalier principal. Le couloir est mène à une très petite salle où sont entreposés des cartons et des caisses. Toutes sont minutieusement refermées mais contiennent néanmoins des morceaux de cadavres, des plantes et des ustensiles en nombre. Bien qu’elle ne soit pas visible à l’œil nu, une trappe se cache sous la moquette qui recouvre le sol de cette pièce. La salle ouest semble être une sorte de prison : Des cages de fer hautes de la taille d’un être humain normalement constitué sont retenues par des accroches au plafond. Le balancement de ces cellules provoque un grincement qui pourrait même entrainer la folie de celui dont on veut soutirer des informations. Personne ne sait si Gundramm les a entreposées ici de son propre chef ou si elles étaient déjà présentes bien avant son arrivée. Au nord, le ton change radicalement : Les murs sont parsemés de motifs nécromantiques et démoniques. Se dessinent des mages procédant à divers rituels et se mutilant à la gloire de cultes inconnus à l’ensemble du commun des mortels. Au fin fond de la salle une torche éclaire ce qui semblerait être un escalier…